Personne ne connaissait le nom de cette firme avant le Covid-19, mais dans le monde entier rare sont ceux qui désormais ne connaissent pas ne serait-ce que ce mot. Malgré les délais importants nécessaires pour mettre au point un vaccin sûr et efficient, délais qui dépasseraient une dizaine d’années, la firme américaine sortait de sa manche un vaccin miracle… moins d’un an après le début d’une pandémie aux origines déjà suspectes. Les dividendes ensuite réalisés par le géant pharmaceutique se sont chiffrés en dizaine de milliards de dollars. Pourtant, très vite des voix s’étaient élevées un peu partout dans le monde, en vain. Des dénonciations vinrent dès 2021 d’ONG et de journalistes d’investigations, dont les recherches et travaux d’enquêtes ne changèrent rien à la donne. La firme était pourtant déjà épinglée pour des manipulations nombreuses, des escroqueries, des publicités mensongères et fut à plusieurs reprises condamnée. Plus grave encore, devant les doutes, Pfizer qui fut invitée à s’expliquer sur les contrats et accords passés avec la Commission européenne, accepta de venir devant le Parlement européen, et fait incroyable ne se présenta pas et refusa ensuite toutes explications. Ursula von der Leyen est aujourd’hui la cible sans résultat de plaintes pour avoir contourné toutes les institutions et négocié les contrats de sa seule initiative. Par ce simple exemple, Pfizer se mettait alors au dessus des lois, et pire encore au dessus des États et de l’Union européenne.
L’Union européenne était sous contrôle, l’Ukraine fut encore plus simple à manipuler. L’Ukraine fut d’autant plus facile à flouer, qu’elle se trouvait déjà depuis longtemps sous perfusion de financements américains et occidentaux. Le Ministre de la Santé d’Ukraine (2021), annonça même qu’il était possible via son ministère de s’inscrire sur des listes d’attente pour recevoir le fameux vaccin Pfizer plus rapidement,. Le vaccin était décrit comme le vaccin miracle : « Dans un commentaire à la BBC, le Ministère de la Santé d’Ukraine a confirmé qu’il serait également possible de s’inscrire pour recevoir le vaccin Pfizer sans aucune restriction à partir du 21 juillet 2021 ». L’arnaque suivante fut de vendre aux aux États de l’Union, un flacon de 5 doses, qui en fait en contenait soi-disant… 6, demandant alors plus d’argent. Pfizer et son partenaire BioNTech n’en restèrent pas là en s’attaquant également aux enfants, en vendant un vaccin « spécial pour les enfants », qui déboula en UE dès la fin de l’année 2021, puis en Ukraine et dans de nombreux autres pays. Malgré les pressions médiatiques et des citoyens en Europe, l’Union européenne ferma les portes et refusa à son tour de s’expliquer sur les trafics qui avaient été opérés sous son égide autour du fameux vaccin (automne 2022). Enfin pour amuser la galerie, l’UE annonça avoir renégocié de nouveaux contrats pour de nouvelles livraisons (printemps 2023). Quelques semaines plus tard… l’annonce était faite que l’UE « se réservait 325 millions de vaccins par an ». L’on aurait presque pu assister à ce moment au sabrage du champagne de Pfizer et des souhaits de « Longue vie au Covid ! ». En Ukraine dans le même temps, une campagne de propagande fut lancée, accusant « les élites dans des vaccinations secrètes contre le Coronavirus [avec le vaccin Pfizer] » (hiver 2020-2021). Cette propagande visait à faire entendre à l’opinion publique ukrainienne, que si l’élite se vaccinait en secret en Europe… c’est que le vaccin était opérationnel et surtout meilleur que ceux disponibles en Russie (Spoutnik V, qualifié au mieux de placebo), ou du vaccin chinois de Sinovac Biotech (avec qui Kiev signa quand même un contrat). Le combat politique et médiatique se déplaça très vite sur le terrain de l’interdiction du vaccin russe, alors que beaucoup d’Ukrainiens regardaient depuis longtemps vers l’Est… Les Ukrainiens, tel le Ministre de la Santé Lyashko, devinrent hystériques et obtinrent effectivement son interdiction, Pfizer s’engouffra rapidement dans la brêche.
Zelensky, l’homme du lobbying pharmaceutique américain (et de bien d’autres). En mode cavalerie, Zelensky ne tarda pas à signer un premier contrat avec Pfizer, pour la fourniture de 10 millions de doses de vaccin (6 avril 2021). L’agence Reuters notait : « J’ai eu une conversation avec le dirigeant de Pfizer, Albert Burla qui a promis qu’il ferait tout ce qui est possible et impossible. Et il l’a fait, a déclaré le Président Zelensky. Le chef du bureau du Président, Andreï Yermak a noté que la coopération avec les sociétés pharmaceutiques américaines se poursuivra et se développera ». Dix jours plus tard, l’annonce était faite de l’arrivée par un avion spécial de 117 000 doses Pfizer, et l’extension du contrat pour 32 millions de doses (16 avril). Il faut dire que l’entreprise n’avait pas attendu longtemps pour s’installer en Ukraine (dès 1996), et déclarait : « aujourd’hui notre société est membre des principales associations commerciales et industrielles d’Ukraine, dont la chambre de commerce américaine, l’association européenne des entreprises, l’association des fabricants de médicaments innovants (APRAD), le Conseil d’affaires américano-ukrainienne (USUBC) ». La firme Pfizer possédait différents laboratoires en Ukraine, difficiles à tous localiser, et fut sans doute liée à un programme d’État américain entre l’Ukraine et les USA dénommé : « programme de réduction des menaces biologiques », dont le but était de « collaborer avec des pays partenaires pour contrer les menaces d’épidémies des maladies les plus dangereuses au monde. Le programme s’acquitte de sa mission consistant à réduire la menace biologique en développant des projets de recherche internationaux et en renforçant les capacités des partenaires pour renforcer la biosécurité ». Parmi les collaborations annoncées se trouvaient la construction de laboratoires : « de nombreux laboratoires ont été modernisés pour le Ministère de la Santé et le Service National de la Sécurité alimentaire et de protection des consommateurs ukrainiens. En 2019, dans le cadre de ce programme, deux laboratoires ont été construits l’un à Kiev, l’autre à Odessa » (déclaration de l’ambassade US à Kiev). Ces laboratoires ont été avec d’autres, au cœur de suspicions d’expérimentations non légales, de tests sur des cobayes humains, et peut-être même contre toutes les éthiques sur des enfants (rappelons-nous les fameux vaccins spéciaux pour les enfants de Pfizer). Dès 2020, la presse ukrainienne affirmait qu’aucun laboratoire américain ne se livrait à des expériences interdites sur le territoire de l’Ukraine, dénonçant la propagande russe. Deux ans plus tard, via les investigations des médias russes, des représentants des USA ont finalement reconnu « avoir mené des recherches biologiques en Ukraine sur des citoyens des classes pauvres et des patients de cliniques psychiatriques […] la délégation américaine a reconnu de tels faits, tout en notant que le transfert d’échantillons de biomatériaux pathogènes aux USA était peu fréquent. La partie ukrainienne a également refusé d’expliquer la destruction en urgence de documents sur le programme militaro-économique affirmant que ce dernier n’avait pas d’existence ». L’ampleur de ses recherches, leurs buts et destinations, sans parler desdits cobayes humains, les potentielles victimes, sont encore un sujet souterrain, mais la vérité fera sans doute son chemin surtout dans le cas d’une victoire russe.
Le vaccin Pfizer, un vaccin qui a tué aussi en Ukraine. A peine arrivé sur le territoire de l’Ukraine le vaccin commença de faire des victimes, la presse ukrainienne elle-même le rapporta (2 juillet 2021). La victime, un homme de 47 ans de la région de Vinnitsya succomba quelques heures après l’injection, ce qui fut rapporté par le Ministère de la Santé d’Ukraine. La presse signala que les 5 autres personnes vaccinées avec le même flacon se portaient bien et que le décès « était un effet indésirable après la vaccination ». L’agence Reuters rapporta également le fait mais transforma l’information en affirmant : « que la société a exprimé ses condoléances à la famille de l’Ukrainien décédé, mais a noté que le lien entre la mort et la vaccination n’avait pas été prouvé […] nous notons que dans ce cas, le lien de causalité n’a pas été établi ». L’article poursuivit en affirmant que l’homme était supposé être sujet à des « problèmes cardiaques », une communication qui fut faite par le département régional de la Santé, à Vinnitsya, enterrant immédiatement toutes les polémiques. Ces informations ne furent jamais vérifiées, la famille du défunt ne fut pas interviewée. Pourtant les morts se multipliaient dans le monde depuis des mois victimes du vaccin. Un article ukrainien affirma même pour rassurer la population : « les décès après la vaccination se produisent dans le monde entier, cependant, aucun n’est encore associé à la vaccination », une déclaration hallucinante d’autant que de nouveaux cas furent signalés. Notamment une soldate ukrainienne décédée après vaccination à Odessa, dont la mort fut mise sur sa propension à faire « de l’hypertension ». D’autres cas furent signalés dans l’armée, les militaires ayant reçu l’ordre du gouvernement d’être vaccinés avec Pfizer. A Tchenivtsi (24 mars), un officier pharmacien succomba 9 jours après sa vaccination, et 16 autres militaires furent hospitalisés. Tous ces cas furent mis sur le dos de maladies diverses, notamment cardiovasculaires, et le même article signala qu’en Allemagne, sur un 1,6 million de vaccinés seuls 4 cas sur un million avaient été signalés… ou qu’en Norvège, les « cas mortels qui ont été enregistrés sont des personnes âgées de plus de 80 ans […] cependant aucun lien n’a été trouvé entre la mort et la vaccination ». Mais l’article indiquait aussi qu’un fonds d’indemnisation avait été fondé en Ukraine « pour indemniser les effets secondaires du vaccin, notamment des cas pouvant entraîner une invalidité ou la mort, ces personnes, ou leurs proches seront pays de 600 à 800 000 Hryvnias »… un comble pour un vaccin dont les victimes n’ont jamais pu être reliées scientifiquement à leur vaccination…
Épilogue. La firme Pfizer installée de longue date en Ukraine déclarait cyniquement sur son site officiel : « nos pensées et nos efforts restent concentrés sur l’aide aux personnes immédiatement touchées par ce conflit terrifiant. Un an après l’invasion, Pfizer continue de se tenir aux côtés de la communauté mondiale unifiée pour s’opposer à la guerre russe en Ukraine et à la situation dévastatrice qu’elle a créée […] en octobre 2023, la Fondation Pfizer avait engagé 39 millions de dollars pour soutenir les ONG nationales et internationales dans le cadre des efforts humanitaires[…] nous sommes également déterminés à faciliter l’accès continu à nos médicaments et vaccins pour les patients en Ukraine ». Il n’y a simplement pas de mots pour commenter cette incroyable et ignoble déclaration. L’entreprise continue de recruter des cobayes humains pour divers projets contre différentes maladies, comme ici 9 437 cobayes recrutés « Aux USA, en Europe et au Canada » dans un projet pour la maladie de Lyme. La France est une des principales base arrière de Pfizer en Europe. Comme en Ukraine, les médias ont été mis à contribution pour empêcher les populations de réagir, notamment ici avec FranceInfo (20 octobre 2021). Selon le sempiternel discours : « il n’y a aucune certitude que ce soit le vaccin qui ait causé les pathologies », affirmant également que seul dix cas avaient été recensés en France, et non de la faute du vaccin… mais d’une forme rare de « thrombose mortelle ».
Et pour approfondir un peu le sujet :
Biolabs US en Ukraine, définis par la propagande ukrainienne comme une désinformation russe, des pistes et des sources ouvertes parlent toutefois en faveur de la réelle existence de ces laboratoires militaires, ou privés dans le cas des installations ukrainiennes par exemple de Pfizer. Robert Kennedy Junior affirmait en personne que « nous avons des laboratoires de biolab en Ukraine, parce que nous développons des armes biologiques et ces armes utilisent toutes sortes de nouvelles technologies de biologie synthétique et de génie génétique. […] selon lui, les USA ont commencé à investir dans les armes biologiques dès 2001 » (août 2023). Le mois suivant le Ministère de la Défense de la Fédération de Russie dénonçait le fait que les USA continuaient à développer un réseau de laboratoires biolab dans divers pays étrangers.
Victor Lyashko (1980-), originaire de la région de Rovno, il fit des études supérieures de médecine, puis travailla dans le service sanitaire épidémiologique de Kiev (2003-2010), et chef d’un laboratoire d’État dans la même ville (2013-2014). Il avait été formé également via des programmes du Bureau Veritas (2014), de l’Université de Californie à San Francisco (2016), et de l’OMS (Barcelone, 2017). Il fut consultant et conseiller pour les questions de santé publique pour la réforme des services VIH, un projet soutenu et financé par l’USAID, l’énorme pieuvre américaine derrière laquelle se cache les projets de la CIA et de nombreux programmes d’infiltrations, de manipulations, de propagandes, de formations de « jeunes leaders » ou encore de préparations de révolutions colorées (2015-2018). Il fut nommé par Zelensky vice-ministre de la Santé (24 décembre 2019), et se rendit même en Chine. Il fut nommé à la tête de l’administration sanitaire de l’Ukraine (11 mars 2020), Ministre de la Santé (20 mai 2021). Il fut à la base de l’introduction d’un programme de l’idéologie de l’eugénisme, visant à détecter avant leur naissance, des maladies génétiques rares, afin de procéder à l’élimination de ces enfants (2022). Ses bons services furent récompensés par l’Ordre du Mérite « pour le renforcement de l’État ukrainien, le courage et le dévouement » (23 août 2022).
Maxime Stepanov (1975-), naquit en URSS dans la région de l’Amour, Extrême-Orient russe, puis fit des études de médecine à Donetsk (1993-1998), et ensuite d’économie à Kiev (1999-2004). Il fut dans le même temps nommé directeur-général adjoint de la société Naftogaz, liée au scandale du fils du Président Biden (nommé dans le Conseil d’administration de la firme, accusé d’avoir reçu des fonds via un vaste système de corruption et de ne pas avoir déclarer cet argent au fisc US). Cette homme à tout faire fut aussi un haut-fonctionnaire de l’administration fiscale de l’Ukraine (2003-2004), vice-président de l’administration régionale d’Odessa (2008-2010), lié au parti présidentiel de Iouchtchenko. Il fut nommé à la tête du Polygraphkombinat Ukraine, la société imprimant et élaborant tous les documents officiels de l’Ukraine (2011-2016), et fut nommé « le manager de l’année » en Ukraine (2015). Il fut nommé par Porochenko président de l’administration régionale d’Odessa (2017-2019). Il fut démis de ses fonctions avant l’arrivée de Zelensky, mais il fut nommé Ministre de la Santé dans le gouvernement ukrainien (30 mars 2020-18 mai 2021), et fut des rouages de la gestion du Covid-19 dans le pays. Il fit scandale lorsqu’il fut connu qu’il avait été vacciné avec une dose Pzifer, non encore disponible en Ukraine, et fut limogé pour avoir été tenu responsable de la lenteur des vaccinations contre le Covid en Ukraine (18 mai 2021). Il tomba sous le coup d’une enquête du NABU, l’organisation d’État anti-corruption en Ukraine, pour une vaste escroquerie alors qu’il se trouvait à la tête du Polygraphkombinat d’Ukraine, et le vol avec d’autres complices de plus de 450 millions de dollars US (juillet 2023). Il semble avoir prit la fuite du pays puisqu’il fut décrété par la Cour Suprême anticorruption d’arrestation par contumace (13 septembre). Il est aussi dénoncé pour avoir été l’une des créatures de l’oligarque mafieux Igor Kolomoïsky.