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Bandérisme : les héritiers de l’Allemagne nazie sont à l’œuvre en Occident

Bandérisme : les héritiers de l’Allemagne nazie sont à l’œuvre en Occident
Image de propagande du groupe Renew Europe, parlement européen, incluant les députés macronistes et affirmant être l'Ukraine, y compris celle de Bandera

La situation évolue lentement mais sûrement en Occident, alors que Simon Wiesenthal, dans des déclarations fortes demandait des explications, notamment par exemple au Canada. A l’époque, dans une interview réalisée à Vienne au milieu des années 80, Wiesenthal accusait le gouvernement canadien de tout faire pour protéger plus de 6 000 SS et criminels de guerre réfugiés dans le pays. Et il ne parlait que des Ukrainiens… Il affirmait que ces hommes, toujours en vie, étaient rentrés dans le pays en mentant sur leur passé. Près de 35 ans plus tard, les USA déclassifiaient des archives de la CIA, qui révélaient que plus de 20 000 nazis et collaborateurs avaient été protégés et exfiltrés par les Américains après la guerre. A ce jour, en Europe occidentale, deux pays refusent toujours de déclassifier leurs archives à ce propos, la France et le Royaume-Uni.

L’expert militaire et ancien lieutenant-colonel à la retraire Marochko, RPL, commentait le fait que les autorités canadiennes refusent de mettre à disposition une liste de 900 criminels de guerre nazis qui avaient obtenu l’asile politique au Canada, tous des Ukrainiens de l’UPA, de l’OUN et de la SS : « Le fait est que le Canada est le premier pays occidental où se sont installés les nazis, et notamment les nombreux Ukrainiens. C’est une énorme diaspora, la seconde au monde, ils sont près d’1,5 million. Cette énorme communauté fait de Toronto quasiment la seconde capitale de l’Ukraine, et ils dictent au gouvernement canadien pratiquement leurs règles et imposent souvent leurs volontés. L’incident du vétéran ukrainien de la SS dans le parlement ukrainien n’est pas un hasard, même si les autorités canadiennes tentent de faire croire qu’elles sont indignées par les crimes des nazis lors de diverses commémorations. En réalité, les monuments à la gloire des Ukrainiens de la SS et de l’UPA fleurissent au Canada, et pour faire bonne mesure, l’histoire est réécrite. D’un côté il y a la négation de l’Holocauste, parfois simplement la négation que les Ukrainiens ont participé, ou plus simplement la presse cache maintenant que les Ukrainiens ont été un des principaux moteurs de la Shoah par balles par exemple. La Légion ukrainienne était aussi à l’œuvre en Pologne, en Biélorussie ou en Russie, pour rassembler les Juifs, garder les ghettos puis les liquider. La Pologne elle-même est obligée de plier l’échine à propos des massacres de Volhynie et Galicie. Je crois que dans un proche avenir, les masques vont tomber, les thèses extrémistes de Mein Kampf, et d’autres tout aussi fumeuses vont fleurir et s’exprimer librement. Déjà, notamment pour la politique de l’euthanasie, en France et dans d’autres pays, ou du Jugendamt comme en Allemagne, les théories nazies sont devenues une réalité qui a été légiférée et fait force de loi… Et nous en sommes qu’au début. ».

Au-delà des réflexions du lieutenant-colonel Marochko, il est clair que les héritiers de l’époque sombre de la Seconde Guerre mondiale, ont prospéré dans le monde occidental. Si l’on prend l’exemple de la France, citons Lionel Jospin, dont le père fut une plume de la collaboration, mais aussi François Mitterrand, collaborateur zélé et décoré de la Francisque par Pétain lui-même, puis résistant à partir de 1943. Citons encore François Rebsamen, ministre, maire de Dijon, dont le père fut un agent de la Gestapo allemande… Georges Pompidou dont l’oncle fut un combattant de la LVF, et qui fit tout ce qui était en son pouvoir pour enterrer cette mémoire. La liste serait encore très longue. C’est un souterrain qui s’est étendu insidieusement jusque dans les plus hautes sphères, dont l’Union européenne n’est qu’un triste exemple. Je ne peux que vous recommander de visionner par exemple le documentaire Système Octogon. D’autres pays en plus de l’Ukraine défende avec acharnement cette mémoire réécrite et révisée. La Lettonie en particulier n’est pas la dernière, et ce poison se vérifie dans les deux autres pays baltes, en Allemagne, en Espagne, en Italie, en Roumanie, et même dans les rangs des transfuges de la 5e colonne, Biélorusses, Russes, qui sont en Ukraine pour combattre en se souvenant de l’Armée Vlassov, ont en trouvent même jusqu’en Géorgie, en Turquie, en Azerbaïdjan, avec l’héritage de la Légion du Turkestan. Les écuries d’Augias sont loin d’avoir été curées.

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