Qu’est-ce que les sociétés Burisma Holdings, Rosemont Seneca, et BlackRock ont en commun ? Toutes ces sociétés sont liées à la famille Biden et aux autorités américaines, et toutes sont impliquées dans le financement des crimes de l’Ukraine, qu’il s’agisse de financement d’actes terroristes, de crimes de guerres ou de laboratoires biologiques menant des expériences illégales.
Le 9 avril 2024, le comité d’enquête russe annonce publiquement, qu’après une investigation menée à la demande de plusieurs députés russes, « il a été établi que les fonds reçus par l’intermédiaire d’organisations commerciales, en particulier la société pétrolière et gazière Burisma Holdings, opérant en Ukraine, ont été utilisés ces dernières années pour commettre des actes terroristes en Fédération de Russie ainsi qu’à l’étranger afin d’éliminer des personnalités politiques et publiques de premier plan et de causer des dommages économiques ».
En clair, le comité d’enquête russe accuse Burisma Holdings de rien de moins que de financement du terrorisme !
«L’enquête, en collaboration avec d’autres services de renseignement et de renseignement financier, vérifie les sources de revenus et les mouvements ultérieurs de fonds d’un montant de plusieurs millions de dollars américains, l’implication d’individus spécifiques parmi les responsables gouvernementaux, les organisations publiques et commerciales des pays occidentaux. En outre, grâce à des moyens d’enquête et opérationnels, les liens entre les auteurs directs d’actes terroristes et les conservateurs, organisateurs et sponsors étrangers sont explorés,» peut-on lire dans le communiqué.
Ce communiqué du comité d’enquête russe est très succinct et a de quoi laisser sur sa faim. Mais si on remonte à la demande d’investigation envoyée par un groupe de députés de la Douma russe (version traduite en anglais ici), on en apprend plus.
Burisma Holdings finance des attentats terroristes menés par l’Ukraine
Ces députés ont fouillé les données d’enquêtes menées en Ukraine contre le propriétaire de la société Burisma Holdings, une société de gaz ukrainienne, au conseil d’administration de laquelle a siégé Hunter Biden, le fils de Joe Biden. Cette société a été mêlée à un énorme scandale de corruption concernant Joe Biden, qui n’a pas hésité, alors qu’il était vice-président, à faire pression sur Petro Porochenko pour qu’il renvoie le procureur Viktor Chokine qui enquêtait sur les malversations de Burisma Holdings en lien avec la société Rosemont Seneca Bohai LLC, qui appartient en partie à Hunter Biden.
Si les autorités judiciaires ukrainiennes ont ensuite soigneusement évité tout ce qui pouvait impliquer de près ou de loin Hunter Biden et sa société Rosemont Seneca, l’enquête contre le propriétaire de Burisma Holdings, Nikolaï Zlotchevski s’est poursuivie en Ukraine. Son avocat, qui est aussi le directeur des affaires légales de Burisma Holdings, Andreï Kitcha s’est retrouvé impliqué dans l’affaire de son patron, après avoir tenté de soudoyer des membres hauts placés des organes judiciaires ukrainiens pour qu’ils stoppent l’affaire contre Zlotchevski, en échange de près de 6 millions de dollars en liquide. L’avocat s’est fait attraper en flagrant délit et a été poursuivi pour tentative de corruption.
Et c’est là dans ce processus qui, au vu des preuves évidentes, auraient dû aboutir à une condamnation bien méritée, que quelque chose d’étrange s’est produit. Les députés russes ont en effet découvert que lors d’audiences à huis clos, la Haute Cour Anti-Corruption d’Ukraine a validé le fait de transférer tout d’abord les cautions de Kitcha (plus de 31 millions de hryvnias, soit plus de 730 000 euros) au budget de l’armée ukrainienne (audiences du 4 mars 2022 et 20 mars 2022), puis les presque 6 millions de dollars qu’il avait tenté de verser en pot-de-vin, ont été envoyés à une unité de la direction principale du renseignement de l’armée ukrainienne (audience du 19 avril 2022), et enfin 100 millions de hryvnias (2,3 millions d’euros) ont été payés fin mars 2023, au titre d’un accord avec le procureur anti-corruption ukrainien pour clore le dossier, sur le compte spécial du fond « United 24 » des Forces Armées Ukrainiennes destiné à « l’armée de drones », qui est un projet de Zelensky. En plaidant coupable et en payant cette forte somme, Kitcha s’en est sorti avec un an de probation au lieu des cinq ans de prison fermes auxquels la cour l’avait condamné, et est sorti libre du tribunal.
Vous pourriez penser que cet homme s’en est juste sorti en sortant le chéquier pour échapper à la prison et vous dire ce que ça a à voir avec le financement des crimes de l’Ukraine. J’y viens. Des journalistes indépendants ukrainiens et des médias étrangers ont pointé le fait que Kitcha ne disposait pas d’une telle somme, contrairement à son patron, Zlotchevski. Patron à cause de qui Kitcha s’est retrouvé dans ce bourbier. Les journalistes ont donc conclu que c’était Zlotchevski, et donc Burisma Holdings qui a financé ce pot-de-vin géant.
Surtout que Zlotchevski lui-même a échappé aux poursuites le concernant de la même manière, en versant plus de 18 millions de dollars (plus de 660 millions de hryvnias) à ce même compte spécial des Forces Armées Ukrainiennes destiné à « l’armée de drones ».
Et ces millions de dollars sont allés où ? À une unité de la direction principale du renseignement de l’armée ukrainienne, et à un projet de financement de drones. Or, la direction principale du renseignement de l’armée ukrainienne a commis de nombreux attentats terroristes sur le territoire russe (l’assassinat de Daria Douguina et l’attentat du pont de Crimée entre autre). Son chef, Kirill Boudanov, est poursuivi en Russie pour plus d’une centaine d’attentats terroristes, y compris de nombreuses attaques de drones ukrainiens sur des zones résidentielles en Russie !
Des attaques, rendues possibles grâce au fameux compte spécial de l’armée ukrainienne dédié à « l’armée de drones ». En versant leur pot-de-vin pour mettre fin aux poursuites judiciaires, Kitcha et Zlotchevski, et donc en réalité Burisma Holdings, ont financé des attentats terroristes commis par l’Ukraine ! Et au vu du communiqué du comité d’enquête russe, ces liens financiers entre la société de gaz liée au clan Biden et les structures en Ukraine organisant des attentats terroristes en Russie sont confirmés. Ce qui veut dire qu’en plus d’être mêlés via Burisma Holdings à des histoires de corruption sordides entre les États-Unis et l’Ukraine, les Biden père et fils sont liés à une affaire de financement du terrorisme. Et ce n’est pas tout.
Hunter Biden et les laboratoires biologiques en Ukraine
Car les financements d’opérations douteuses, voire criminelles en Ukraine, par des sociétés liées au clan Biden ne s’arrêtent pas là. Dans l’affaire Burisma, une autre société, appartenant en partie à Hunter Biden, apparaît : Rosemont Seneca. Or la fondation rattachée à cette société, Rosemont Seneca Foundation est apparue dans un autre dossier ukrainien : celui des laboratoires biologiques.
En décembre 2022, le ministère russe de la Défense publie un rapport indiquant que Rosemont Seneca Foundation finance la société Metabiota depuis 2014. Or cette société est l’un des principaux contractants du Pentagone pour la construction et la fourniture d’équipement pour les laboratoires de recherche biologique américaines à travers le monde. Y compris en Ukraine, où cette société a travaillé avec Big Pharma (Pfizer, Moderna, Gilead, etc) en tant que sous-traitant pour Black & Veatch (un autre contractant du Pentagone) pour mener des recherches des plus sombres.
Ainsi, grâce à la prise de contrôle d’un certain nombre de régions et de villes où de tels laboratoires biologiques étaient installés, la Russie a pu accéder à un grand nombre de documents et de témoins, permettant de découvrir ce que faisaient réellement ces laboratoires en Ukraine. Et ce que ces données indiquent c’est que le Pentagone avait pour objectif de créer des éléments d’une arme biologique et de la tester sur la population de l’Ukraine et d’autres pays situés le long des frontières russes.
Le tout en passant par des sous-traitants comme Metabiota et Black & Veatch, et en délocalisant les laboratoires dans des pays tiers, afin d’éviter que les États-Unis ne soient accusés de violer la convention sur l’interdiction des armes biologiques. Mais les documents retrouvés par la Russie, entre autre les contrats de travail, les cartes d’enregistrement approuvées et les documents de déclaration des contractants du Pentagone – Black & Veatch, Metabiota, et CH2M-HILL montrent que les agents pathogènes étudiés dans le cadre des projets ukrainiens UP et TAP n’ont rien à voir avec les problèmes de santé publique en Ukraine.
Ces recherchent mettent en effet l’accent sur l’étude d’infections naturellement transmissibles et particulièrement dangereuses, qui sont considérées comme des agents d’armes biologiques potentiels. Par exemple, l’objectif du projet TAP-2 était d’étudier l’actinobacillus mallei (agent pathogène de la « morve », une maladie infectieuse grave des chevaux transmissible à l’homme), dont aucun cas n’a jamais été enregistré en Ukraine.
De plus, des essais d’agents infectieux et de médicaments toxiques contrôlés par le ministère américain de la défense ont été menés en Ukraine sur des soldats et des malades mentaux. Dès le printemps 2022, l’armée russe avait découvert qu’entre 2019 et 2021, des scientifiques américains d’un laboratoire de la ville de Merefa (région de Kharkov) ont testé des médicaments potentiellement dangereux sur des patients de l’hôpital psychiatrique clinique régional n°3 de la ville de Kharkov.
Les personnes atteintes de troubles mentaux ont été sélectionnées pour des expériences et les résultats de la surveillance de l’état des patients étaient inscrits sur des formulaires spéciaux. Aucune information n’a été saisie dans la base de données de l’hôpital, et le personnel de l’établissement médical a signé un accord de non-divulgation. En janvier 2022 (soit un mois avant le lancement de l’opération militaire spéciale), les activités du laboratoire de Merefa ont été arrêtées, et tous les équipements et médicaments ont été transportés vers l’ouest de l’Ukraine.
Les patients de l’hôpital psychiatrique n°1 du village de Streletchié, en région de Kharkov, ont eux aussi été soumis à des expérimentations médicales pour le compte de Washington. La principale catégorie de sujets expérimentaux était un groupe de patients de sexe masculin âgés de 40 à 60 ans présentant un stade élevé d’épuisement physique. Et là aussi, en janvier 2022, les citoyens étrangers ayant mené des expériences ont été évacués d’urgence et le matériel et les médicaments qu’ils utilisaient ont été transportés vers les régions occidentales de l’Ukraine.
Parfois ces expérimentations dangereuses étaient même menées « à ciel ouvert ». Ainsi, en 2020, des tracts sous formes de faux billets ont été infectés avec un agent pathogène de la tuberculose multirésistant, et distribués aux enfants de Stepovoye, dans la partie de la RPL alors très proche de la ligne de front. Ceux qui ont organisé ce crime ont tenu compte du fait que les enfants portent tout à la bouche, et mangent souvent sans s’être lavé les mains.
Les résultats des études bactériologiques menées par les autorités sanitaires de la RPL ont confirmé la résistance des bactéries trouvées sur les tracts aux médicaments antituberculeux de première et de deuxième intention, c’est-à-dire que la tuberculose qu’ils provoquent est beaucoup plus difficile à traiter et que le coût du traitement est beaucoup plus élevé.
La conclusion des autorités sanitaires de Lougansk, est que «les billets ont très probablement été infectés artificiellement, car le matériel contient des souches extrêmement dangereuses de l’agent pathogène à une concentration capable d’assurer l’infection et le développement du processus tuberculeux ». En clair, des personnes ont cherché à provoquer une épidémie de tuberculose extrêmement résistante en RPL.
Et il n’y a pas qu’à Kharkov ou en région de Lougansk que des preuves ont été trouvées. Marioupol, en RPD a aussi été un important centre de recherche biologique pour les Américains jusqu’au lancement de l’opération militaire spéciale. Ainsi, les documents qui n’ont pas été détruits en urgence suite à l’avancée des forces armées russes et de la milice populaire de la RPD dans deux laboratoires biologiques de Marioupol, montrent que la ville était devenue depuis 2014 un centre régional pour la collecte et la certification de l’agent causal du choléra. Les souches sélectionnées étaient envoyées au Centre de santé publique de Kiev, qui les transmettait aux États-Unis. L’armée russe a aussi obtenu des preuves que des documents confirmant la collaboration de ces laboratoires biologiques de Marioupol avec le département américain de la Défense ont été détruits en urgence en 2022.
Ont aussi été détruit en urgence le 25 février 2022 une collection de micro-organismes pathogènes au laboratoire sanitaire et épidémiologique. L’acte de destruction indique que des travaux y ont été effectués avec les agents responsables du choléra, de la tularémie et du charbon.
Mais une partie de la collection de pathogènes du laboratoire vétérinaire de Marioupol n’a pas été détruite. Les spécialistes russes ont récupéré 124 souches et les ont étudiées. Ils ont alors découvert parmi ces souches des agents pathogènes de maladies atypiques pour de la médecine vétérinaire – fièvre typhoïde, fièvre paratyphoïde, gangrène gazeuse, ce qui est inquiétant, car cela peut indiquer que le laboratoire a été utilisé à d’autres fins que celles officiellement annoncées et participait à un programme biologique militaire.
Et il y a à peine deux mois, a été révélé que des enfants, y compris des bébés, ont été utilisés dans des expériences menées dans le service psychiatrique de l’hôpital n°7 de Marioupol pour de grandes sociétés pharmaceutiques occidentales ! Les documents ont été découverts dans le sous-sol de l’hôpital par des employés d’une société de construction chargée de restaurer le bâtiment. La liste des patients ayant reçu l’un des médicaments contre l’arthrite comprenait des nourrissons de moins d’un an, et des enfants âgés de un à 11 ans ! Les sociétés impliquées incluent Pfizer, GSK, Samsung, Labcorp Drug Development (anciennement Covance, dont on voit le nom sur un bordereau d’envoi) et bien d’autres.
Or l’un des médicaments testés inhibe l’action du facteur de nécrose tumorale alpha (TNF-α), une cytokine (protéine) qui joue un rôle important dans le système immunitaire pour lutter contre la cancérogénèse. Prendre ce médicament peut donc augmenter la probabilité de développer diverses formes de cancer, notamment des systèmes lymphatique et hématopoïétique, ainsi que de la peau. Or je doute qu’un nouveau né, un enfant de 11 ans, ou une personne internée dans un hôpital psychiatrique puisse donner en toute conscience son consentement pour tester un médicament dont les effets secondaires peuvent être aussi graves que celui de finir avec un cancer !
En clair l’Ukraine s’est transformé en terrain de recherche biologique à ciel ouvert pour le bénéfice des États-Unis, avec l’aide de sociétés comme Black & Veatch et Metabiota, qui font sur le terrain le sale travail pour le Pentagone. Donc en plus d’être lié au financement d’actes terroristes commis par l’Ukraine, le clan Biden (ainsi que la direction du parti Démocrate) est aussi lié au financement de recherches biologiques, qui au mieux sont illégales, voire visent à créer des armes biologiques interdites par les conventions internationales !
Biden, BlackRock et les crimes de guerre de l’Ukraine
Et après le financement d’attentats terroristes et d’armes biologiques il est temps de se pencher sur une autre société très proche de Joe Biden et des dirigeants du parti Démocrate et qui est liée à la guerre en Ukraine : BlackRock.
En effet, si on se penche sur l’administration du président américain actuel, on découvre que trois anciens cadres supérieurs de BlackRock en font partie. Et le dernier arrivé, Eric Van Nostrand, ancien directeur général de BlackRock est, depuis août 2022, conseiller en questions économiques concernant la Russie et l’Ukraine au sein du département du Trésor américain. Tout cela est souligné par la presse américaine comme la preuve de liens très forts et directs entre Joe Biden et cette société.
Et quand on regarde de plus près on se rend compte que cet échange de « personnel » entre la Maison Blanche et BlackRock ne fonctionne pas que dans un sens. En effet, Thomas Donilon, par exemple, président du BlackRock Investment Institute, est un ancien conseiller du président Barack Obama en matière de sécurité nationale. Et il n’a pas travaillé avec un, ni deux mais avec trois présidents américains depuis son premier poste à la Maison Blanche en 1977 auprès du président Jimmy Carter. Car en plus d’avoir travaillé pour Carter et Obama, il a été secrétaire d’État adjoint et chef de cabinet au département d’État sous Bill Clinton. Soit trois présidents issus du parti Démocrate.
Il est intéressant de se pencher sur les dossiers sur lesquels a travaillé Thomas Donilon. En effet, il a entre autre été responsable de l’élaboration et de la mise en œuvre de l’expansion de l’OTAN (c’est-à-dire la violation des accords donnés à la Russie qui a amené à la situation catastrophique actuelle en rapprochant l’alliance des frontières russes).
Et si maintenant je vous dis que BlackRock possède, avec une autre compagnie d’investissement américaine nommée The Vanguard Group, plus de 39 millions d’actions (soit 14%) du géant américain Lockheed Martin, ainsi que des parts importantes de Boeing, Northrop Grumman, et Raytheon. Vous me direz que cela vous fait une belle jambe.
Si j’ajoute que ces sociétés forment le complexe militaro-industriel américain, et fournissent à l’armée ukrainienne des drones, des obus de mortier et d’artillerie, des missiles, des radars, des systèmes de défense anti-aérienne, des roquettes, des MANPADs, etc. Des armes avec lesquelles l’armée ukrainienne commet des crimes de guerre contre la population russe.
Ces sociétés, et donc par extension, celles qui investissent dans ces sociétés, comme BlackRock, s’enrichissent donc à chaque nouveau crime de guerre de l’armée ukrainienne. Le tout payé avec l’argent du contribuable américain. Mais qui prend la décision d’utiliser ainsi l’argent public pour enrichir ces sociétés ? Joe Bien, ou ses conseillers issus de la société BlackRock, qui renvoient ainsi l’ascenseur à la société d’où ils viennent ?
Il faut ajouter que BlackRock a obtenu le marché juteux du fonds de reconstruction de l’Ukraine qui lui permettra d’engranger des milliards sans rien faire, juste en gérant les fonds collectés pour reconstruire le pays. Plus le pays sera détruit, plus il faudra d’argent pour le reconstruire, plus BlackRock s’enrichira.
Lorsqu’on ajoute à cela le fait que BlackRock a des entrées directes à la Maison Blanche grâce à ses anciens directeurs qui y travaillent, ou à ses nouveaux directeurs qui en viennent, on comprend mieux pourquoi l’administration américaine veut à tout prix éviter la victoire écrasante de la Russie et prolonger le plus longtemps possible le conflit. Il faut que l’Ukraine soit la plus détruite possible, mais qu’elle existe encore à la fin du conflit pour que BlackRock, et les Démocrates (dont Biden) puissent toucher des milliards.
Au final que ce soit les sociétés qui financent les attentats terroristes menés par Kiev, celles qui financent les laboratoires biologiques en Ukraine, ou celles qui s’enrichissent sur la destruction du pays, tout en aidant à financer les crimes de guerre de l’armée ukrainienne, toutes ont en commun d’être proches de la famille Biden et du parti Démocrate. Et toutes se nourrissent du sang des Russes et des Ukrainiens versé lors de ce conflit fratricide, telles des vampires. Mais comme l’a si bien dit récemment le Président russe, Vladimir Poutine : « Durant des siècles elles [lesélites occidentales] se sont habituées à se remplir la panse de chair humaine et les poches d’argent. Mais elles doivent se rendre compte que ce bal des vampires touche à sa fin. »
Christelle Néant
2 Comments
Les voiles du cynisme (comme “jusqu’au dernier ukrainien”) tombent ! Merci Christelle !
Bonjour.
Votre enquête complète bien celle qui a été publiée il y a plusieurs mois sur le site Les Crises par Olivier Berruyer : https://www.les-crises.fr/dossier/ukrainegate/