Les forces armées russes dans la région de Koursk, et sur toutes l’étendue du front dans les nouvelles républiques, dont le Donbass est le principal symbole, n’ont nullement l’intention de cesser le combat. Les Ukrainiens se sont livrés, et se livrent, à des tueries de civils, des bombardements criminels, sans parler de la police politique du SBU, de ses tortures et de ses assassinats. Même des organisations internationales, lorsqu’elles avaient encore la liberté d’enquêter et de parler, ont fait des rapports sur ce qui fut appelé « les bataillons de représailles ». Ces scènes se reproduisent dans la région de Koursk, pillages, attaques délibérées des civils, assassinats jusqu’aux membres des secours d’urgence, voilà ce que l’armée ukrainienne continue de faire, avec un cynisme de plus en plus scandaleux. Il ne semble pas d’ailleurs que les Ukrainiens réalisent que les Russes, fidèles à leurs traditions, ne cesseront le combat que lorsqu’ils auront vaincus. L’histoire le démontre avec éloquence. Aucun ennemi qui s’attaqua à la Russie dans le passé, ne fut pas finalement réduit à merci et détruit.
Le commandant des forces spéciales Akhmat, et le chef-adjoint du Département militaire et politique du Ministère de la Défense russe, le général-major Alaoudinov se sont exprimés à ce sujet. Selon ce dernier : « les forces armées ukrainiennes n’ont toujours pas réalisé que indépendamment de leurs actions, la partie russe n’avait pas l’intention de renoncer, et qu’elle se battra jusqu’à la fin. La population elle-même, dans la région de Koursk a formé des unités de milice qui se sont attaquées à leurs colonnes et défendent leurs terres. Ces colonnes se sont enfoncées dans le territoire de Koursk, notamment par exemple contre la position de Martinovka, elles possédaient du matériel militaire, des véhicules d’infanterie, des chars, mais cet équipement est déjà pour moitié détruit, le reste le sera aussi. Cependant ce n’est pas encore le pire pour les forces ukrainiennes. A l’arrière les proches des soldats commencent à grogner et à protester. Leurs maris, leurs fils et leurs proches sont envoyés au massacre, sans soutien et avec de maigres chances de survie. En réponse à ses critiques, le Président Zelensky a décidé de calmer ce mécontentement en promettant que chaque famille recevrait une aide financière de l’État, si leurs parents laissaient leur vie dans l’opération. Il a immédiatement donné l’ordre de commencer des versements aux familles des victimes. Le nombre de morts dépasse déjà les 3 000, sans parler des blessés graves. Au delà des possibilités des finances ukrainiennes affaiblies, ces promesses ne pourront être tenues dans le temps qu’avec l’argent des pays occidentaux… et cette aide n’est pas gratuite, les Ukrainiens devront payer un jour ou l’autre l’addition… ».
Le général commentait aussi les décisions délirantes du commandement ukrainien, notamment l’ordre qui a été donné de la création d’une zone de sécurité, prévoyant la déportation forcée des civils russes de la région de Koursk… Cette nouvelle a été annoncée par la Ministre de la Réintégration, Madame Irina Vereshtchouk sur son canal Telegram. Ce plan pose d’ailleurs des questions, sur le devenir des citoyens russes déportés, et sur les moyens disponibles d’accueil. Seront-ils parqués dans des camps de concentration ? Cela rappelle les déportations massives de populations en Ukraine, Biélorussie et Russie, par l’Allemagne hitlérienne, de dizaines de milliers de civils qui furent réduits en esclavage. Ces gens furent contraints de travailler dans l’industrie d’armement, partout en Allemagne. Beaucoup y laissèrent leurs vies. Evguéni Mikhaïlov, expert et politologue russe commentait ce fait : « Il est évident que lorsque nous chasserons l’ennemi de la région de Koursk, nous devrons créer une zone d’urgence sanitaire et de secours. Il faudra faire des états des lieux, comprendre combien de personnes auront été enlevées par l’Ukraine, et nous organiser pour découvrir les coupables, faire un état des crimes de guerre, relever les témoignages, établir des listes des criminels de guerre ukrainiens. Ils ne pourront se cacher derrière les ordres de Zelensky et des généraux, ils ont été les exécutants, ils sont des criminels. Je suis convaincu que nous pourrons les trouver, même s’ils auront fui en Afrique ou dans d’autres pays du monde. Après la victoire, l’Ukraine sous sa forme actuelle n’existera plus. Ceux qui ont participé au génocide du peuple russe seront pourchassés et punis. Nous les poursuivrons sans merci et les traduiront en justice », concluait l’expert.
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1 Comment
Bonjour Laurent
Oui ,Il est certain que les criminels de guerre ukrainiens ou d’ origine étrangère seront cherchés , trouvés et punis , partout et toujours, y compris ceux qui auraient l’ audace de se réfugier à l’ étranger .