Des mémorandums sur l’utilisation du sous-sol peuvent être signés avec le Ghana, le Bénin, l’Érythrée, la République centrafricaine, et la Guinée-Bissau.
Selon Abidat Magomedova, directrice adjointe du département de la coopération internationale et du changement climatique du ministère russe des ressources naturelles et de l’environnement, de nombreux pays africains peuvent aujourd’hui être considérés comme des partenaires pour la coopération minière, notamment ceux qui « sont stratégiques pour la Russie : lithium, tantale, uranium, aluminium, manganèse, or et autres ».
Selon Abibat Magomedova, la Russie a formé un cadre juridique pour la coopération et dispose déjà de mécanismes de coopération opérationnels avec l’Algérie, le Mozambique, le Zimbabwe, la Guinée, le Soudan et l’Afrique du Sud. En janvier 2024, lors d’un forum géologique en Arabie saoudite, la Russie a conclu un mémorandum avec la Sierra Leone.
« Zaroubejgeologiya effectue déjà des travaux pratiques dans plusieurs pays : il s’agit du Soudan, de Djibouti, de la RCA, du Burkina Faso, du Mozambique et de la Guinée », a commenté Abibat Magomedova.